ECO)BREF. Gabriel Boudier trace sa route à dix ans. Norcan lance un robot collaboratif d’assistance à la préparation de commandes. L'eau de Velleminfroy renaît sous la baguette de  Poulaillon. Alliance Trinaps et EuroCFD ensemble pour un data-center. Abéo achète une société en Chine. ILsa, chef de file d’un projet sur les médicaments innovants. Les serres connectées de Myfood bientôt en phase d’industrialisation. Deux nouvelles écoles d’ingénieurs à Dijon. Framatome embauche 300 personnes en Saône-et-Loire. Dadaux boucle un investissement de 3,5 millions d’€. Le centre d’expertise du tube de Delfingen prend forme. 117 suppressions d’emplois à la Chocolaterie de Bourgogne. Dixi Microtechniques déménage sa production d’ici la fin de l’année. Lisi investit 110 millions d’€ edans Les forges de Bologne. Plant Advanced Technologies développe son premier actif pharmaceutique.

 

Nous vous retrouverons le lundi 26 février  

Les éditeurs et journalistes de Traces Ecrites News prennent une semaine de repos pour mieux vous retrouver le lundi 26 février. Vous êtes aujourd’hui plus de 70.000 à nous lire régulièrement, aussi merci de cette confiance qui s’adresse également à nos annonceurs, fidèles à plus de 80% d’une année sur l’autre. Le site Traces Ecrites News entre dans sa huitième année d’existence et prépare la sixième édition de son magazine annuel : 60, le best of. Publié à 13.000 exemplaires, il regroupe les 60 entreprises -  30 pour chacune des régions Grand Est et Bourgogne - Franche-Comté - qui ont fait l’actualité par leur dynamisme et leur créativité.


- Avec une extension de ses ateliers à Dijon, le liquoriste Gabriel Boudier trace sa route à dix ans.

 

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En 2018, une extension de 1.300 m2 . photo non contractuelle.

 

Repreneurs en 2015 de l’entreprise familiale que dirigeait leur frère Jean, François et Yves Battault, respectivement président et directeur général de la SAS Gabriel Boudier, ont revisité l'entreprise. Le résultat est la décision d’un vaste plan d’investissement déployé par étapes sur 5 à 10 ans qui se chiffre à 10 millions d’€. La première démarre cette année, concomitamment au 50ème anniversaire de l'implantation de l’entreprise dans la zone industrielle (ZAE) Cap Nord à Dijon. Lire la suite ici.

 


- L'Alsacien Norcan lance un robot collaboratif d’assistance à la préparation de commandes et à la manutention.

 

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C’est une révolution pour les métiers de la logistique. Après deux ans de développement et près d’un million d’€ d’investissement, l’entreprise d’Haguenau (Bas-Rhin) a mis au point un robot capable de suivre son utilisateur en scannant simplement ses jambes. Ce chariot possède aussi des fonctions d’autonomie : il peut décharger, se déplacer et se garer lui-même. Baptisé Sherpa, il est capable de porter jusqu’à 100 kg et de tracter jusqu’à 200 kg. Cinq prototypes ont été réalisés et cinq autres sont en cours de production. Lire la suite ici.

 

 

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- En Haute-Saône, l'eau de Velleminfroy renaît sous la baguette de l’Alsacien Paul Poulaillon.


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C’est l’eau la plus chère de France et le groupe alsacien Poulaillon, son propriétaire, s’en félicite : « sans pesticides et avec zéro nitrate. » Captée en Haute-Saône, l’eau de Velleminfroy est référencée dans 6.000 grandes surfaces, les magasins de snacking de la chaîne Poulaillon et une bouteille en verre fera bientôt son arrivée sur les tables des restaurants. Une aventure de 10 ans avant d’obtenir toutes les autorisations d’exploitation. Lire la suite ici.

 

 

- Trinaps lève avec succès 2,5 millions d’euros et construit un data-center à Belfort avec EuroCFD.


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L’opérateur de télécoms et d’Internet créé voici 10 ans par trois étudiants de l'UTBM (Université de Technologie de Belfort Montbéliard) compte doubler ses effectifs d’ici à trois ans grâce à un développement de la fibre optique et un data-center, en construction à Belfort. Pour construire et exploiter celui-ci, Trinaps s'associe à EuroCFD, spécialiste de la simulation numérique, également installé à Belfort. Une alliance est née entre les deux opérateurs dans une société fille, Extendo Datacenter, détenue à 60% par Trinaps et 40% par EuroCFD. Lire la suite ici.

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- Multiple médaillé de l’équipement sportif, Abéo poursuit sa croissance externe avec l’acquisition d’une société en Chine.


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Rien ne semble pouvoir arrêter ce nouveau champion franc-comtois de la croissance (1.200 salariés dont 400 en France et 140 à Rioz) : L’entreprise de Rioz (Haute-Saône) vient de réussir une augmentation de capital de 26,8 millions d’€ sur le marché boursier et poursuit sa croissance externe avec l’acquisition de 80% de la société chinoise Shandong Kangnas Sports. Il va équiper en 2019 les Championnats du Monde de Basket en Chine et les Jeux Olympiques et Paralympiques 2020 au Japon. Lire la suite ici.

 

 

- A Besançon, ILsa, chef de file d’un projet sur les médicaments innovants.

 

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Le fabricant d’instruments de laboratoire, installé à Marchaux, dans l’agglomération de Besançon, est le chef de file de MiMédI : un projet européen très ambitieux qui réunit un consortium 100% franc-comtois de six entreprises (ILsa, Smaltis, Aurea Technology, Diaclone, BioExigence et Med’In’Pharma) et cinq acteurs institutionnels (EFS Bourgogne-Franche-Comté, Femto-ST, l’unité mixte de recherche 1098, Femto Engineering et le CIC du CHRU de Besançon). Ensemble, ils mettent au point un processus industriel de production de médicaments innovants, que l’on appelle aussi, désormais, les Médis. Lire la suite ici.

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- Les serres connectées de l’alsacien Myfood bientôt en phase d’industrialisation.

 

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© Julie Giorgi.


L’ambition de Myfood : fournir des serres connectées clé en main équipées de tours de culture verticales à tous ceux qui souhaitent produire leur propre alimentation. L’entreprise y parvient en utilisant la permaculture qui favorise un sol vivant sans engrais chimique et l’aquaponie qui associe l’élevage de poissons et la culture de végétaux. Produites jusqu’à présent sur mesure, elles deviendront dans les mois qui viennent, des produits normés que le client pourra monter et installer lui-même. Lire la suite ici.

 

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- L’École Supérieure d’Électronique de l’Ouest et l’École spéciale des Travaux Publics et du bâtiment s’implantent à Dijon.

 

Déjà présente à Dijon depuis une dizaine d’années avec une classe préparatoire hébergée au lycée Notre-Dame, l’École Supérieure d’Électronique de l’Ouest (ÉSEO) va ouvrir à la rentrée 2020, son cursus d’ingénieurs généralistes en électronique et informatique, sur le campus de Dijon. Dijon Métropole doit lui construire un bâtiment de 5.000 m2. D’ici l’été sera officialisé l’arrivée d'une autre école d'ingénieurs, l’École spéciale des Travaux Publics et du bâtiment (ESTP) de Cachan, dans la région parisienne - également “délocalisée” à Troyes, dans l’Aube. Lire la suite ici.

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- Framatome embauche 300 personnes et investit 80 millions sur ses sites industriels de Saône-et-Loire.

 

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La décision de l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) de permettre à nouveau au site du Creusot de produire viroles et autres grandes pièces forgées - parfois aussi moulées – après une interdiction suite au scandale de la découverte d'irrégularités, voire de « falsifications » dans les dossiers de suivi de fabrication, ouvre la voie à un vaste plan de reconquête. Pour retrouver ses pleines capacités productives, l’industriel réembauche jusqu’à 300 personnes en 2018, dont la moitié environ à Saint-Marcel, dans l’agglomération du Grand Chalon et une quarantaine au Creusot. Le spécialiste des composants lourds pour centrale nucléaire investit par ailleurs 80 millions d'€. Lire la suite ici.

 

 

- Le Jurassien Dadaux boucle un investissement de 3,5 millions d’€.

 

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Montage de trancheuses à côtelettes. © Traces Ecrites.

 

Le fabricant européen de machines de transformation et découpe de viande, boucle un programme de 3,5 millions d’€ sur ses trois sites industriels, dans le Jura et en Tunisie. L’unité de Bersaillin (70 salariés) bénéficie d’une extension de 1.500 m2 pour atteindre une surface totale de près de 10.000 m2. Elle est consacrée à désengorger certaines opérations de montage afin de mieux optimiser les flux de production. Lire la suite ici.

 


- Dans le Doubs, le centre d’expertise du tube de l'équipementier automobile Delfingen prend forme.


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Le groupe franc-comtois qui a passé la barre des 200 millions d’€ de chiffre d’affaires et continue à se développer dans le monde, investit aussi dans son berceau historique du Doubs où l'effectif va atteindre 240 personnes, sur 2.000 au total dans le monde. Le centre d’expertise technique du tube qui emploiera, à terme, une centaine de personnes, est bien avancé. « Le budget R&D a été multiplié par deux depuis 2015, et nous avons prévu 6 millions d’€ d’investissement pour 2018, auxquels s’ajouteront 2 millions de matériel », affirme Gérald Streit, son directeur général. Lire la suite ici.

 

 

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- 117 suppressions d’emplois à la Chocolaterie de Bourgogne à Dijon.


Dénouement d’une longue période d’incertitude depuis un redressement judiciaire fin octobre 2017 : le groupe espagnol Lacasa reprend la Chocolaterie de Bourgogne, en conservant 65 salariés dont 5 apprentis. Le bilan social demeure lourd avec 117 suppressions d’emplois. Lire la suite ici.


- Dixi Microtechniques déménage sa production d’ici la fin de l’année.


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Les réglementations et autorisations administratives des deux secteurs dans lesquels évolue la société de microtechniques, le médical et la défense, retardent l’installation de toute la production dans les nouveaux locaux de Chaudefontaine, dans l’agglomération de Besançon. Mi-2018, la fabrication devrait suivre les services généraux. Coût total de l’opération : environ 5,5 millions d’€. Dixi Microtechniques est en pleine forme : ses contrats lui donnent une visibilité jusqu’en 2022. Lire la suite ici.


- Le Franc-Comtois LISI investit 110 millions d’€ dans Forges de Bologne en Haute-Marne.


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Premier employeur de Haute-Marne avec 750 salariés, Forges de Bologne confirme la construction d’une nouvelle usine de l’ordre de 40.000 m2 sur une plateforme de plus de 100.000 m2 sur le Parc Plein’Est à Chaumont, à une douzaine de kilomètres de son site actuel de Bologne. Les travaux s’échelonneront du deuxième semestre 2018 à fin 2019, avec une entrée dans les lieux à partir de mi-2019. Lire la suite ici.

 

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- Plant Advanced Technologies créée une filiale pour développer son premier actif pharmaceutique et envisage une levée de fonds.


Le développeur de la technologie des “plantes à traire” (technologie d'extraction de molécules), Plant Advanced Technologies (PAT) à Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle), créée la filiale Temisis pour développer son premier actif dans le domaine pharmaceutique. Elle envisage pour cela une levée de fonds d’une dizaine de millions d’€ au second semestre 2018. Vetoquinol à Lure (Haute-Saône) a fait son entrée fin 2017 au capital de PAT cotée sur Alternext Paris. Lire la suite ici.

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