Biosyl veut devenir un des leaders du bois énergie en France.
Biosyl veut devenir un des leaders du bois énergie en France.

ECO)BREF.

- Avec une capacité de 120 000 tonnes par an, l'unité de production de granulés bois Biosylva à Cosne-sur-Loire (Nièvre) revendique la première place du secteur.

Créée en 2010 par Antoine de Cockborne, issu d'une famille de forestiers et Yves Cormier, la société Biosyl a « vocation à devenir un des leaders en France dans le domaine du bois énergie et plus particulièrement dans la production de granulés de bois », précise la direction.

Opérationnelle depuis décembre 2013, l'unité de production qui emploie une vingtaine de salariés, représente un investissement de 21 millions d'€.

Selon L'Usine Nouvelle, elle utilise principalement du bois d'éclaircie et limite les déchets de scierie à 20% de l'approvisionnement.

En dehors des deux fondateurs, le capital de Biosyl est détenu par la coopérative forestière Unisylva, premier fournisseur privé de bois feuillus, le fonds d'investissement 123Venture et la scierie Archimbaud dans les Deux-Sèvres.

- Déjà actionnaire de Bourbon Automotive Plastics Holding, filiale du groupe Plastivaloire (395 millions d'€ de chiffre d'affaires avec 25 sites de production), Bpifrance annonce sa participation à l’augmentation de capital de l'équipementier automobile à hauteur de 30%.

Cette participation s'opère à travers Le Fonds de Modernisation des Equipementiers Automobiles (FMEA) Rang 1 souscrit à parité par Bpifrance, gestionnaire et les constructeurs français Renault SA et par PSA Peugeot Citroën.

Implantée à Saint-Lupicin (39), Bourbon Automotive Plastics, spécialisé dans les pièces plastiques pour l'habitacle des véhicules (environ 300 salariés) trouve les moyens financiers pour développer ses marchés outre-Rhin.

L'entreprise va investir dans une usine en Slovaquie en partenariat avec l’équipementier allemand BIA et créer un bureau commercial en Allemagne.

- Selon une enquête du site de recrutement Qapa cité par Le Figaro, la Franche-Comté et la Bourgogne formeraient avec Rhône-Alpes le trio de tête des régions où il est plus facile de trouver un emploi.

Ces deux régions seraient aussi celles où les salaires proposés sont les plus élevés. Ce que ne corroborent pas les chiffres de l'Insee.

En 2010, l'organisme officiel de la statistique relevait en Bourgogne, un salaire annuel moyen de 21 646 € pour les hommes, 16 743 € pour les femmes, pour une moyenne en province de 22 206 €  pour les 1ers et 16 909 € pour les secondes.

En Franche-Comté, le salaire annuel moyen net de prélèvements est de 19 063 €, soit commente l'Insee, « 590 € de moins qu'en province et 1 980 € de moins qu'en France métropolitaine ».

Guillaume Rémond, à gauche et Thimothée Barbier entourent leur parrain, Philippe de Jarcy, P-DG de la Chocolaterie de Bourgogne.
Guillaume Rémond, à gauche et Thimothée Barbier entourent leur parrain, Philippe de Jarcy, P-DG de la Chocolaterie de Bourgogne.

- Deux entreprises annoncent leur présence au salon Maison et Objet, du 24 au 28 janvier 2014 à Paris.

Le bisontin Weal's Concept plus connu sous sa marque Utinam y présentera notamment ses horloges comtoises revisitées. La jeune société dijonnaise Zhed expose sa gamme de mobilier en métal.

Maison et Objet, salon de référence dans les secteurs du meuble et de la décoration, accueille 80 000 visiteurs.

- Lors de son assemblée générale le 17 janvier à Besançon, la coopérative d'insémination GEN’IAtest a annoncé un projet d'investissement de près d'1,5 million d'€ dans deux centres d’allotement en Haute-Saône : à Vellefaux et à La Chevillotte.

Dédié à l'accueil des vaches de race Montbéliarde destinées à l'exportation, ces structures s'agrandissent respectivement de 100 et 200 places. En 2013, plus de 6000 femelles ont été exportées.

La coopérative compte 3600 adhérents dans le Doubs, le Territoire de Belfort, en Haute-Saône et en Haute-Marne.

- Le 30 janvier, la maison de négoce Patriarche à Beaune (Côte-d'Or) rachetée par le groupe Castel en 2011, officialise la cession de ses archives au service municipal de Beaune qui sera chargé de les classer et de les diffuser.

Il s'agit de documents de toute nature et de toutes les époques, depuis les origines de la société à la fin du XVIIIe siècle : étiquettes de vins, publicités, matériel promotionnel, livres de comptes…

Les archives municipales de Beaune sont réputées en matière de sauvegarde et de valorisation d’archives d’archives viti-vinicoles.

Une partie du collectif Vive la Bourpogne au Foodex de Tokyo l'an dernier.
Une partie du collectif Vive la Bourgogne au Foodex de Tokyo l'an dernier.

- Le 4 février à Beaune (Côte-d'Or), le collectif de PME de l'agroalimentaire Vive la Bourgogne signe une convention avec le groupe Sopexa pour promouvoir les produits alimentaires régionaux en France et à l’international.

Cette signature marque l'entrée de la Bourgogne dans le club des régions animé par l'organisme de promotion.

Elle rejoint l'Alsace, adhérente depuis l'été dernier à travers l'association régionale des industries alimentaires (Aria) et la Franche-Comté qui en fait partie depuis la rentrée de septembre 2013 avec le Comité de Promotion des produits régionaux de Franche-Comté (CPPR).

- La radio associative dijonnaise Radio Cultures arrêté de diffuser sur la bande FM le 20 janvier.

Créée il y a 6 ans, elle connaît une « situation financière difficile avec des dettes » et emploie 6 salariés et 2 services civiques.

Son activité se poursuit en streaming sur son site internet et espère revenir rapidement sur les ondes hertziennes.

Photos : Biosyl, Zhed et Vive la Bourgogne.

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